Letter to a young musician…

as a letter to a young musician Claude Tabarini also wrote…

 » Tout homme a sa propre chanson, (…), qu’il passe sa vie à fredonner, qui lui est en quelque sorte consubstantielle, le plus souvent venue du bric à brac de l’enfance. L’éthique du jazz est le respect de l’être. -Chante ta chanson pendant que je chanterai la mienne, ainsi nous serons ensemble sans pour autant cesser d’être nous-mêmes. Tu sais maintenant que je t’aime, que ta mélodie (…) concourt à l’harmonie de l’univers. Ne m’écoute pas, ne prends pas tout ce que je dis pour pain béni, c’est ainsi que tu m’entendras, ainsi nous bâtirons notre demeure. Je ne veux pas d’un amour inféodé, j’ai confiance en ta force, en la réalité de ton chant. » (C. Tabarini)